david hockney : Huile sur soixante toiles ,207x 744,2cm. on ressent encore certaines ruptures qui inciteront Hockney à concevoir une version peinte, de grand format, de ce même site. Fidèle au principe des collages, il décide de réaliser l'oeuvre sur un ensemble de toiles de petit format qui seront montées les unes à côté des autres de façon à générer une continuité visuelle. Les soixante toiles, qui composent le plus grand tableau peint jusqu'à présent par Hockney, lui permettent au moins soixante points de fuite qui rapprochent davantage le paysage du spectateur que ne le ferait un panorama traditionnel conçu selon le principe d'une vision monoculaire. Ni chemin ni route ne conduisent le spectateur, à pied ou en voiture, à travers le Grand Canyon. Il tend plutôt à survoler virtuellement l'immensité de l'espace. Il passe d'une roche à l'autre, parcourant les gorges, en planant au-dessus du site, se laissant guider d'un point de fuite au suivant.
Figuratif, à contre courant des mouvements contemporains,Il utilise la photographie pour recomposer des lieux, des paysages, des objets. À partir de centaines de prises de vue décalées les unes par rapport aux autres, il peint «A closer Grand Canyon», en effet c'est à partir de 1976, qu'il réalise des photomontages constitués de multiples clichés au Polaroid, ensuite remontés pour former des mosaïques, en référence à la méthode cubiste. c'est en 1998, qu'il parvient à l’aboutissement de cette méthode avec le Grand Canyon, conçu à partir d’un photomontage de 1986, est constitué de 60 tableaux
david hockney : Huile sur soixante toiles ,207x 744,2cm. on ressent encore certaines ruptures qui inciteront Hockney à concevoir une version peinte, de grand format, de ce même site. Fidèle au principe des collages, il décide de réaliser l'oeuvre sur un ensemble de toiles de petit format qui seront montées les unes à côté des autres de façon à générer une continuité visuelle. Les soixante toiles, qui composent le plus grand tableau peint jusqu'à présent par Hockney, lui permettent au moins soixante points de fuite qui rapprochent davantage le paysage du spectateur que ne le ferait un panorama traditionnel conçu selon le principe d'une vision monoculaire. Ni chemin ni route ne conduisent le spectateur, à pied ou en voiture, à travers le Grand Canyon. Il tend plutôt à survoler virtuellement l'immensité de l'espace. Il passe d'une roche à l'autre, parcourant les gorges, en planant au-dessus du site, se laissant guider d'un point de fuite au suivant.
Figuratif, à contre courant des mouvements contemporains,Il utilise la photographie pour recomposer des lieux, des paysages, des objets. À partir de centaines de prises de vue décalées les unes par rapport aux autres, il peint «A closer Grand Canyon», en effet c'est à partir de 1976, qu'il réalise des photomontages constitués de multiples clichés au Polaroid, ensuite remontés pour former des mosaïques, en référence à la méthode cubiste. c'est en 1998, qu'il parvient à l’aboutissement de cette méthode avec le Grand Canyon, conçu à partir d’un photomontage de 1986, est constitué de 60 tableaux
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